Lieux de vaccination COVID-19 en Lot-et-Garonne
Centre de vaccination au Centre des congrès d'Agen
1 Avenue du Midi 47000 AGEN
Tél : 05 53 48 49 56
Centre de vaccination à l’Espace Expo de Marmande (Chic Marmande)
6 Avenue François Mitterrand 47200 MARMANDE
Tél : 05 53 20 31 10
Centre de vaccination à l’Espace d'Albret Nérac
51 Quai de la Baïse 47600 NERAC
Tél : 05 53 69 74 76
Centre de vaccination au Pôle de Santé du Villenevois
Route de Fumel 47300 VILLENEUVE-SUR-LOT
Tél : 05 53 72 28 00
Centre de vaccination de la Myre Mory à Villeneuve-sur-Lot
72 Avenue d’Agen 47300 VILLENEUVE-SUR-LOT
Tél : 05 53 72 28 00
Les rendez-vous peuvent être pris par téléphone ou directement en ligne sur le site : https://www.sante.fr/cf/centres-vaccination-covid/departement-47-lot-et-garonne.html
Le virus de la rougeole est actuellement présent et circule en Nouvelle-Aquitaine.
Maladie à déclaration obligatoire par les professionnels de santé, la rougeole est une maladie à prendre au sérieux. C'est une infection virale hautement contagieuse et potentiellement grave.
Un vaccin existe et peut stopper l'épidémie. Pour se protéger et protéger les autres : priorité vaccination !
https://www.nouvelle-aquitaine.ars.sante.fr/system/files/2018-02/plaquette-rougeole2018_BDef.pdf
La priorité : se faire vacciner pour stopper l'épidémie !
La grande majorité des personnes touchées par l'épidémie actuelle de rougeole n'étaient pas vaccinées. La couverture vaccinale en Nouvelle-Aquitaine est insuffisante pour faire face à cette épidémie. Il est urgent de vérifier sa vaccination (2 doses sont nécessaires pour être protégé) et de consulter son médecin traitant pour rattraper cette immunité. Il est recommandé dès la petite enfance à 12 et 18 mois (2 doses), mais peut être rattrapé à tout âge.
N'attendez pas pour vérifier votre statut vaccinal :
Dans tous ces cas, consultez rapidement votre médecin pour vous faire vacciner. En période d'épidémie, il est préférable de vacciner sans réaliser de sérologie, quel que soit l'âge.
La rougeole est une infection virale, l’une des maladies infectieuses de l’enfance classée comme les plus contagieuses et pour laquelle l’OMS a établi un plan d’élimination mondial. La transmission se fait essentiellement par voie aérienne soit directement auprès d’un malade, soit indirectement du fait de la persistance du virus dans l’air ou sur une surface contaminée.
Les symptômes
La rougeole se manifeste par l’apparition d’une fièvre élevée (supérieure à 38,5°C), d’une éruption cutanée, de la persistance d’une toux, d’une rhinite ou d’une conjonctivite. L’éruption dure 5 à 6 jours, les formes les plus compliquées sont plus fréquentes chez les patients âgés de moins de 1 an et de plus de 20 ans. Elles peuvent aller jusqu’à l’hospitalisation pour pneumonie ou complications neurologiques graves, pouvant aller jusqu’à des décès.
Une personne contaminée par la rougeole peut infecter entre 15 et 20 personnes!
La généralisation de la vaccination contre la rougeole a pour objectif l’élimination de la maladie. Celle-ci est possible si 95 % des enfants se font vacciner avec 2 doses. Tous les enfants et adultes jeunes doivent être vaccinés contre la rougeole. C’est une vaccination très efficace qui protège de la maladie après 2 doses de vaccin.
Afin de prévenir les épidémies et garantir la couverture vaccinale de la population, le calendrier vaccinal 2017 préconise :
Quelle que soit la quantité absorbée et quel que soit le type de boisson alcoolisée, la consommation d’alcool pendant la grossesse expose le bébé à des perturbations de son développement. A la naissance et plus tard, elle peut entraîner des malformations, des difficultés d’apprentissage, des troubles de l’attention et du comportement pouvant mener au décrochage scolaire et à des difficultés d’insertion sociale.
La consommation d'alcool pendant la grossesse est la première cause de handicap mental d'origine non génétique chez l'enfant. C’est pourquoi le principe de précaution «zéro alcool pendant la grossesse» doit être largement partagé.
En France, les Troubles Causés par l’Alcoolisation Fœtale (TCAF) représenteraient 1 naissance sur 100 et sont largement sous-estimés au sein de la population. En effet, la majorité des Français estime que le risque pour l’enfant n’existe que pour une consommation ponctuelle excessive (pas de prise en compte du risque lié à une consommation modérée chronique). La perception du risque est donc très floue, et la recommandation d’abstinence souvent mal comprise du fait de la persistance d’idées fausses véhiculées notamment par l’entourage.
L’information des femmes enceintes ou ayant un projet de grossesse, mais aussi du grand public, est donc un enjeu majeur de santé publique.
Infos et conseils pendant et après la grossesse : https://docs.wixstatic.com/ugd/e4e67b_9e27f0c84522404f8bb0b7f468495308.pdf
Guide pratique pour les parents & aidants sur les Troubles Causés par l'Alcoolisation Foetale (TCAF): https://docs.wixstatic.com/ugd/e4e67b_a1117818efd64810ab4b57084743dbb3.pdf
Toutes les infos sur les sites :
La FREDON Aquitaine a été désignée par l’ARS Aquitaine comme opérateur dans le cadre du repérage, de la lutte et de la formation contre l’Ambroisie à feuilles d’armoise (Ambrosia artemisiifolia) en Aquitaine.
L'ambroisie à feuille d'armoise est une plante opportuniste envahissante dont le pollen est hautement allergisant pour l'homme. Importée d'Amérique du Nord, elle est apparue en France en 1863, vraisemblablement introduite par un lot de semences fourragères.
Le pollen de l'ambroisie provoque chez de nombreuses personnes des réactions allergiques : 6 à 12% de la population exposée est sensible à l'ambroisie. Il suffit de quelques grains de pollen par mètre cube d'air pour que des symptômes apparaissent : rhinite associant écoulement nasal, conjonctivite, symptômes respiratoires tels que trachéite, toux, et parfois urticaire ou eczéma. Dans 50% des cas, l'allergie à l'ambroisie peut entraîner l'apparition de l'asthme ou provoquer son aggravation. Alors que les classiques rhumes des foins apparaissent en mai-juin, les allergies provoquées par le pollen d'ambroisie sont beaucoup plus tardives : elles commencent en général vers la mi-août et peuvent se prolonger jusqu'en octobre, avec un maximum d'intensité en septembre. A cette période, l'ambroisie est la principale cause d'allergies. Le diagnostic est donc assez facile à poser dans les régions où la plante est présente, ainsi que dans les zones où le vent est capable d'apporter du pollen.
L'ambroisie à feuilles d'armoise, l'ambroisie à épis lisse et l'ambroisie trifide sont officiellement classées comme des espèces nuisibles pour la santé. Ce classement résulte d'un décret accompagné d'un arrêté interministériel, ci-joints, parus vendredi 28 avril au Journal officiel. La lutte contre l'ambroisie nécessite un repérage précoce et le plus exhaustif possible pour mettre en œuvre des actions qui visent un contrôle maximal de la plante. Ces actions sont d'autant plus efficaces lorsque les zones sont peu envahies, comme en Aquitaine.Vous trouverez également ci-jointe la fiche de signalement.
Elle se développe et se multiplie très facilement sur différents types de terrains et préférentiellement dans :
- les sols nus et remaniés : chantiers; terrains vagues, voies de communication (talus de routes, d'autoroutes et de voies ferrées, bords des rivières),
- les jachères, les cultures de tournesols, de maïs et de soja,
- les zones d'entrepôts de graines et fourrages,
- les jardins des particuliers.
Pour plus de détails :
Dispositif de lutte contre l’Aedes Albopictus (dit « moustique tigre ») et de surveillance des arboviroses (maladies virales transmises notamment par les moustiques) en métropole.
Une mobilisation locale, au plus près des populations
Originaire d’Asie, ce moustique peut, dans certaines conditions, transmettre le virus de la dengue, du chikungunya, du Zika et de la fièvre jaune.
Le dispositif de surveillance, mis en place depuis 2006, s’applique à toutes les maladies transmises par les moustiques vecteurs du genre Aedes. Il mobilise le ministère de la santé en lien avec l’Agence nationale de santé publique, les agences régionales de santé, les Conseils départementaux et les communes concernés, ainsi que les structures chargées de la surveillance entomologique et de la démoustication.
Dans les départements où les moustiques constituent une menace pour la santé de la population, les arrêtés préfectoraux, pris au plus tard le 30 avril 2017 pour les départements de métropole, doivent comporter les noms des services ou organismes publics chargés par les conseils départementaux des missions qui leur sont dévolues.
Des gestes simples pour lutter contre la prolifération
Les bons gestes pour lutter contre la prolifération :
Si vous voyagez dans une zone à risque :
https://www.ars.sante.fr/sites/default/files/2017-05/d%C3%A9pliant%20voyageur.pdf
https://www.ars.sante.fr/sites/default/files/2017-05/Affiche%20Vous%20Partez.pdf
https://www.ars.sante.fr/sites/default/files/2017-05/Affiche%20vous%20Revenez.pdf
Site de signalement : http://www.signalement-moustique.fr/
Le plan canicule est déclenché le 1er juin de chaque année. Dans ce cadre, Santé publique France met en place un dispositif d'information et de prévention des risques liés aux fortes chaleurs.
Les bons reflexes : http://inpes.santepubliquefrance.fr/CFESBases/catalogue/pdf/1027.pdf
Les signes d'alerte : http://inpes.santepubliquefrance.fr/CFESBases/catalogue/pdf/1185.pdf
La maladie de Lyme (ou borréliose de Lyme) est une maladie infectieuse, non contagieuse, causée par une bactérie transmise par les tiques, essentiellement en forêt et en zone humide. La transmission se fait par piqûre d’une tique infestée et le risque de transmission de la bactérie est d’autant plus grand que le temps de contact avec la peau est prolongé. Toutes les tiques ne sont pas infectées.
Comment prévenir : https://www.grand-est.ars.sante.fr/sites/default/files/2017-01/lyme %29.pdf
Les tiques vecteurs de maladies
La tique est un acarien. Elle vit ancrée sur la peau des mammifères, des oiseaux ou des reptiles, et se nourrit de leur sang grâce à un rostre. La tique n'est pas dangereuse dans l'immédiat mais en revanche, elle peut transmettre à ses hôtes et notamment à l'homme, des maladies que l'on appelle "vectorielles".
La plus fréquente des zoonoses transmises par les tiques dans le Nord Est de la France est la maladie de Lyme que l'on appelle aussi la Borréliose. Il existe d'autres maladies transmises par la tique mais qui sont beaucoup plus rares comme l’encéphalite à tiques. Ce sont les tiques femelles du genre Ixodes qui peuvent transmettent la maladie de Lyme à l'occasion d'une piqûre. Ces tiques apprécient les milieux humides: tapis de feuilles, herbes hautes, forêts de feuillues et conifères. Elles sont généralement plus abondantes entre avril et octobre.
Population à risque et premiers symptômes
Les populations à risque sont les forestiers, les agriculteurs, les campeurs, les randonneurs…. Les zones d'accrochage et de piqûres sont les zones les moins visibles comme le cuir chevelu, ou les endroits où la peau est plus fine comme les plis des aisselles, de l'aine….
Le retrait doit se faire le plus rapidement possible car plus une tique porteuse de maladies reste fixée longtemps et plus le risque de transmission de ces maladies augmente : la tique ne transmet la bactérie qu'après 24 à 48 heures sur l'hôte.
Les premiers signes sont la fièvre, des céphalées et des courbatures… et sur la peau, une rougeur circulaire d'évolution progressive à l'endroit de la piqûre. Mais, cette rougeur peut se manifester à distance de la morsure : on l'appelle érythème migrant.
Après quelques mois débute la phase secondaire avec des manifestations au niveau neurologique ou articulaire (douleurs inflammatoires). Ce n'est que bien plus tard que la phase tertiaire apparaît avec des signes neurologiques et articulaires plus graves et persistants, puis une fatigue à long terme.
Comment s’en protéger ?
La prévention reste la meilleure arme contre cette maladie. Des moyens simples existent :
Inspecter le corps après avoir été en forêt, retirer rapidement la tique avec une pince à tiques (un tire-tiques) et surveiller la zone de piqûre ;
Consulter son médecin traitant en cas d'apparition des premiers signes.
Ce qu’il ne faut surtout pas faire :
Arrêté préfectoral fixant les mesures destinées à préserver lieux et établissements accueillant des personnes vulnérables au risque d'exposition aux produits pharmaceutiques :
http://www.calameo.com/read/003171433842ab0e91658
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